Marqué par le documentaire de Georges Franju Le sang des bêtes, Louis Cros, désormais cinéaste localement reconnu, tente de détourner la commande qui lui est faite par un industriel charcutier d'un film promotionnel sur son entreprise vers une dénonciation de la barbarie qui dort sous la soi-disant modernité. En effet, certaines images sont plutôt crues.